Chaque année en France, près de 80 % d’étudiants en médecine sont recalés par le système de numérus clausus et le concours PACES dans le cadre des études en médecine générale et à l’accès aux différentes spécialités. ESEM France-CLESI propose une solution aux étudiants en mettant en place un cursus universitaire qui n’applique pas le concours PACES.
Études en médecine : un parcours sans le concours PACES
Parce que depuis 1971, les études médicales en France sont contrôlées par un numerus clausus, l’entrée des étudiants en médecine générale, en médecine dentaire, en kinésithérapie, en pharmacie et en maïeutique reste très limitée. ESEM France est une alternative pour les milliers de candidats, motivés et talentueux, qui se retrouvent bloqués aux portes de la deuxième année en médecine par la restriction sur le nombre d’admis.
ESEM, continuer sa formation en médecine et se spécialiser dans le domaine de son choix
Chaque année, le concours PACES fait tomber des projets d’avenir de bons étudiants, refusés par le système du numerus clausus. Un système désuet, qui ne répond ni aux attentes de la santé publique de nos jours, ni aux aspirations d’une médecine moderne. Depuis 2012, les étudiants en médecine peuvent continuer leurs cursus grâce à l’ESEM France et ses campus à Toulon et Béziers. En effet, ESEM a la particularité de proposer une formation accessible sans passer par le concours PACES. C’est une alternative qui s’affiche clairement comme la solution pour les milliers d’étudiants, en quête de formations sérieuses dans le domaine de la médecine et qui ont les compétences pour réussir leurs études et leurs spécialités. Ces étudiants recalés par l’université publique, malgré une année de travail d’arrache-pied en PACES et d’excellentes notes, peuvent ainsi continuer leurs études de médecine au sein de l’ESEM France. C’est une continuité dans leur brillant parcours au bout duquel ils pourront embrasser la carrière professionnelle en médecine de leurs rêves.
ESEM : devancer la restriction du PACES et devenir médecin, en France
Le dispositif de numerus clausus appliqué au sein de l’université publique contraint des étudiants compétents à revoir leurs orientations ou à redoubler. La plupart décident d’émigrer vers des horizons plus cléments comme l’Espagne, la Belgique ou la Roumanie pour poursuivre leur projet de devenir médecin généraliste et ou d’avoir une spécialité. En choisissant de se former dans ces pays, ils pourront bénéficier d’un diplôme européen. Avec l’ESEM, ils peuvent désormais continuer leurs études de médecine en restant en France, sans problème. Les bacheliers peuvent également accéder en première année de médecine à l’ECEM sur présentation de dossier et lettre de motivation : un choix qui les préservera du découragement face au sas du concours PACES. Actuellement, un nouveau campus est ouvert à Dublin, Irlande, où des formations sont disposées en langue française, notamment en médecine dentaire.Un nouvelle opportunité à saisir !